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Chapitre 1 | Dossier de la Plainte No  2009-06-074 au Conseil de presse contre :

le journaliste Martin Ouellet | La PC-Presse canadienne | Canoë | Journal de Québec




Tout le dossier

Chapitre 1 - ( ici-bas )
  • 17 juin 2009 | Transmission de la plainte ;
  • 1er juillet 2009 | Réponse du Conseil de presse ;
  • 4 juillet 2009 | Tranmission de la copie du courriel du 17 juin transmis aux mis-en-cause ;

Chapitre 2
-
  • 3 septembre 2009 | Réception de la réplique de La Presse canadienne ;
  • 28 octobre 2009 | Réplique à la réplique de la Presse canadienne ;

Chapitre 3
-

  • 27 janvier 2010 | Décision de première instance | Lettre de transmission ;
  • 22 janvier 2010 | Décision de première instance ;

Chapitre 4
-
  • 9 mars 2010 | Avis et motifs de l'appel ;
  • 21 mai 2010 | Décision de la Commission d'appel du CPQ - 21 mai 2010

 

17 juin 2009 | TRANSMISSION de la plainte No 2009-06-074


Réponse initiale du Conseil de presse






4 juillet 2009 Saint-Étienne-de-Lauzon, Québec

Conseil de Presse
M. Guy Amyot
Secrétaire général

M. Guy Amyot,

J'ai bien reçu aujourd'hui par la poste votre lettre datée du 1er juillet concernant votre Dossier No 2009-06-074 ( Fichier joint ). Merci d'avoir répondu à mon envoi courriel. Ce que n'a pas fait le JdQ à ce jour.

Comme vous pouvez le constater dans l'entête d'envoi courriel ici-bas, j'ai transmis copie de ma plainte à l'éditeur du JdQ ( Voir en gras dans la copie conforme du bordereau d'envoi ). Je n'ai pas les coordonnées des autres personnes impliquées mais puisque tout cela passe par le JdQ je suppose que ses responsables en ont informé les parties impliquées. ET, je n'ai jamais eu de nouvelle. Je ne peux donc être satisfait de leur « réponse » puisque je n'en ai eu aucune depuis que j'ai transmis il y a plus de 20 jours ce dont vous avez reçu copie et qui me fait recevoir aujourd'hui par la poste votre lettre sus-mentionnée.

Je pense par là, leur avoir ainsi valablement communiqué mes « préoccupations ». Je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus. Cette information a dû vous échapper car, quant à moi, il me semble avoir fait ce que je devais faire et cela en tout respect du Règlement No 3, articles 3.5 et ss., ce que votre lettre ne semble pas considérer. Néanmoins, si cela ne suffit pas et ne vous satisfait pas, merci de me transmettre les coordonnées courrielles des personnes et organisations qu'il me faudrait contacter pour mieux faire.

Je vous transmets par la poste copie de l'Annexe A dûment signée.

Merci pour votre aimable et généreuse attention.

Luc Archambault


-------- Message original --------

Sujet :

Plainte au Conseil de presse - Contre Martin Ouellet, la Presse canadienne, Canoë -et le JdQ - Fête nationale - Saint-Pierre et Curzi dénoncent l’exclusion des anglophones

Date :

Wed, 17 Jun 2009 21:40:46 -0400

De :

Luc Archambault

 

Pour :

Conseil de presse du Québec Nathalie Verge Secrétaire générale <direction@conseildepresse.qc.ca>, CONSEIL DE PRESSE DU QUÉBEC Nathalie Verge Secrétaire générale <info@conseildepresse.qc.ca>, Conseil de presse du Québec - Linda David Marie-Ève Carignan <ldavid@conseildepresse.qc.ca>

Copie à :

PQ-Pierre Curzi -D-MBSP-É-08 07 03-, Gouv Québec - MCC- Madame la ministre Christine Saint-Pierre <ministre@mcccf.gouv.qc.ca>, JdQ-Journal de Québec - Donald Charette - Directeur de l'information <dcharette@journaldequebec.com>, Journal de Québec Éditeur et chef de la direction <editeur@journaldequebec.com>, Journal de Québec <reactions@journaldequebec.com>,

 

Plainte au Conseil de presse, 2009 06 17

Contre Martin Ouellet, la Presse canadienne, Canoë et le JdQ

Dans un texte publié par Le Journal de Québec 2009 06 16 - Martin Ouellet PC-Presse canadienne

Fête nationale - Saint-Pierre et Curzi dénoncent l’exclusion des anglophones


MENSONGE ET DIFFAMATION

Il est écrit encore un mensonge qui participe toujours à la dérive médiatique de l’été 2008 du 400e qui, sur la base de mon « Mot de bienvenue d’un artiste québécois à Sir Paul McCartney » - 2008 07 15 - Pdf, a inventé de toute pièce un « mouvement d’opposition » qui n’a jamais existé, à sa pourtant bienvenue venue. Bienvenue venue... le titre de ma Lettre ouverte endossées par M. Curzi et incriminé  par le journaliste Martin Ouellet sous le faux vocable Pétition, est pourtant éloquent à cet égard et il n’a jamais été publié correctement, même son titre, et c’est pourtant ce titre et le texte afférent qui ne contredit pas ce titre, qu’a endossé Pierre Curzi, deux autres députés du PQ ainsi que ± 200 autres personnalités et citoyen(ne)s de Québec et du Québec.











« Il y a un an, le député Curzi avait été passablement varlopé pour
s’être associé à une pétition exigeant
que le chanteur britannique
Paul McCartney entonne des chansons de Félix Leclerc - en français bien sûr -
sur les Plaines d’Abraham. Depuis ce temps, il manoeuvre avec prudence dans le dossier linguistique.
 »

 







Le député Curzi ne s’est pas associé
à une « pétition exigeant que le chanteur britannique Paul McCartney entonne ( en français ) des chansons de Félix Leclerc ». Cette affirmation est fausse et mensongère. Ce qui suit est fallacieux.

D’abord, c’est de Gilles Vigneault dont il a été question dans mon texte endossé par le « député Curzi » auquel fait référence la canadianisatrice et propagandiste Presse canadienne. Ensuite, il n’était absolument pas question « d’exiger » qu’il chante «  Les gens de mon pays  » ( à ne pas confondre avec l’hymne d’anniversaire maintenant répandu, Gens du pays.... c’est à ton tour... ). Il s’agissait plutôt de faire devant Sir Paul à travers une Lettre ouverte, l’exposé de la canadianisation du 400e, question de le sensibiliser à la protection de la diversité culturelle et à notre insécurité linguistique en lui faisant part d’un rêve qui le faisait chanter avec Gilles Vigneault «  Les gens de mon pays  » Ce sont gens de parole, et gens de causerie... etc... Il n'était absolument pas question « d'exiger »  « que le chanteur britannique Paul McCartney entonne ( en français ) des chansons de Félix Leclerc »

On est loin du fait « d’exiger » quoique ce soit. Le prétendre, l’affirmer est fallacieux et mensonger. Du reste, Sir Paul a parlé en français, a chanté en français et surtout, geste inattendu et inespéré, Sir Paul a brandi le seul drapeau du Québec contrairement à ce qu’il avait fait à Kiev un mois plus tôt. ( Retour sur un détournement de message - Michel Roberge - Vigile ), ce qui montre bien que ce texte qui comptait sur la grandeur d'âme et la perspicatité de l'artiste engagé qu'est Sir Paul, a visé juste en n'exigeant rien de lui, pas même son attention.

Ensuite, il ne s'agissait pas d'une pétition. Mais d'une Lettre ouverte intitulé sans équivoque « Mot de bienvenue... » adressée à Sir Paul McCartney et rendue publique. Une Lettre ouverte endossée par plusieurs personnalités et citoyen(ne)s. Une Lettre ouverte déposée dans un site Internet de « pétition » ( à l'époque il n'y avait rien d'autre pour ce faire ) afin de recevoir l'endossement des Québécois(es). Une Pétition exige quelque chose, pas cette Lettre ouverte. Il s'agissait de souhaiter la bienvenue à Sir Paul en lui exposant la situation que nous vivions, du point de vue de l'auteur, aucune demande ni exigence n'étaient parties de cette Lettre ouverte. ET le texte le spécifiait et le spécifie toujours, qu'il ne s'agissait pas, et ne s'agit toujours pas d'une pétition mais bien d'une Lettre ouverte. Affirmer le contraire est mensonger et fallacieux et induit le public en erreur. Tout ce qui en découle est fallacieux et inapproprié. Cela va à l'encontre de la déontologie journalistique et se trouve à constituer l'expression d'une opinion s'il est question d'exprimer un avis contraire aux faits. Ce qui est contraire entre autres choses au cumul des genres journalistiques.

Tout ça pour faire un lien creux entre le dossier traité ce jour là et Pierre Curzi et la dérive médiatique de cet été 2008 qui a prétendu à tort que nous nous étions opposés à la bienvenue venue de Sir Paul. Le journaliste 10 mois plus tard, en dépit de tout ce qui a été publié depuis pour contredire ce qu'a affirmé cette dérive médiatique, abonde dans la même dérive, contre toute évidence.


Sir-Paul-Drapeau-150_22.jpg

Lettre ouverte - 2008 07 15

Mot de bienvenue et d'AU REVOIR de Québécois à Sir Paul McCartney

173 signatures - le 2009 06 17 - 20:26

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jesignequebec.com  | Site citoyen d'expression solidaire | Pétitions - Lettres ouvertes - Propositions et projetsInitialement déposée et toujours présente dans le site lapetition.be au titre :


Lettre ouverte - Mot de bienvenue et d'AU REVOIR de Québecois(e)s à Sir Paul McCartney


Plainte au Conseil de presse

Je dépose par les présentes, une Plainte au Conseil de presse du Québec, cela, contre M. Martin Ouellet, la Presse canadienne, Canoë, le JdQ et tout autre média ayant publié le texte en question et semblables prétentions fallacieuses.

J’exige, et cette fois c’est vrai, une rétractation de l’affirmation faite et qui se fonde sur mon texte pour le faire d’une façon erronée et mensongère. Pourtant, plus de 10 mois après les faits, le journaliste et ces organes de presse qui ont publié le texte n’ont aucune excuse. Toute la documentation existe concernant cette affaire, elle est facilement disponible dans Internet et ils ont amplement eu le temps de la consulter et de consulter le texte mal cité et déformé à souhait dans ce qu’ils se permettent d'écrire et publier aujourd’hui.

Je demande au Conseil de presse de blâmer le journaliste pour avoir déformé le texte mis en cause et affirmé une « vérité » contredite par le titre et le texte de la Lettre ouverte incriminée, faussement présentée comme étant une pétition, et lui demande de blâmer les organes de Presse qui ont publié ces fausses allégations qui m'attribuent et attribuent à M. Curzi signataire de ce texte, une action et un intention qui ne correspond ni à la lettre, ni au titre, ni au contenu du texte cité.  Ces affirmations cause un préjudice grave à ma réputation puisqu'elle m'impute faussement une action, une intention, largement répudiée, et à bon droit, par l'opinion publique, qui de plus ne corresponds absolument pas au contenu de ma prise de position contenu dans le texte cité.

Luc Archambault, Saint-Étienne-de-Lauzon

418 831 91 47


Références :


Canoë - 2009 06 16 - Martin Ouellet PC-Presse canadienne

Fête nationale -
Saint-Pierre et Curzi dénoncent l’exclusion des anglophones

 


Mise à jour: 15/06/2009 17:15

 

Fête nationale du Québec

Saint-Pierre et Curzi dénoncent l'exclusion des anglophones

 

(PC) Martin Ouellet

 


Les anglophones ont aussi bâti le Québec et ne sont pas moins Québécois que leurs compatriotes francophones de souche, soutient la ministre Saint-Pierre. © LA PRESSE CANADIENNE - Archives

L'exclusion de deux formations musicales anglo-montréalaises d'un spectacle de la Fête nationale a été dénoncée sans réserve lundi par les libéraux et les péquistes.

La ministre de la Culture, Christine St-Pierre, a pointé du doigt la frange «intolérante» du mouvement souverainiste tandis que le porte-parole de l'opposition officielle en matière de langue, Pierre Curzi, a appelé les responsables à faire marche arrière.


 



Mario Beaulieu, de la SSJB, réagit






La ministre Christine Saint-Pierre réagit

M. Curzi et Mme St-Pierre s'opposent à la décision de
l'Association culturelle Louis-Hébert d'exiger le retrait des groupes Bloodshot Bill et Lake of Stew du spectacle alternatif «L'Autre St-Jean», qui aura lieu le 23 juin à Montréal.

Les deux groupes anglophones devaient se produire aux côtés de Malajube, Vincent Vallières, Les Dale Hawerchuck et Marie-Pierre Arthur.

Commanditaire de l'événement, l'Association culturelle Louis-Hébert - un organisme proche de la Société Saint-Jean-Baptiste - ne veut que des chansons en français et refuse de tolérer la présence de groupes exerçant leur art dans la langue de Shakespeare.

Pour la ministre St-Pierre, cela démontre qu'il «y a des gens qui sont très intolérants et qui voudraient que l'on vive dans une sorte de bulle».

Selon elle, les éléments les plus radicaux de la mouvance souverainiste ont une réaction «épidermique» face à l'anglais.

«Nous savons où se loge la Société Saint-Jean-Baptiste (une instance du Mouvement national des Québécois). Il y a la défense de la langue, mais aussi la souveraineté. Ils disent qu'ils veulent une société inclusive. Alors il n'y a pas de raison d'exclure des Québécois», a dit la ministre en entrevue à La Presse Canadienne.

Les anglophones ont aussi bâti le Québec et ne sont pas moins Québécois que leurs compatriotes francophones de souche, a ajouté Mme St-Pierre.

«Les anglophones sont parmi nous depuis 250 ans. Ce sont des Québécois. Bien sûr, c'est le français qui est à l'honneur à la Fête nationale, mais les Québécois veulent vivre dans une société inclusive, ce qui comprend les anglo-québécois», a-t-elle lancé.

Son vis-à-vis du Parti québécois, Pierre Curzi, n'a pas voulu vilipender les membres de l'Association culturelle Louis-Hébert. Il estime néanmoins que la décision d'exclure les groupes anglophones de la fête ne tient pas la route.

«Ils étaient peut-être animés de bonnes intentions, mais ils devront revenir sur cette mauvaise décision. Pour ma part, je trouve ça très bien que des groupes anglophones s'associent à la Fête nationale. Cela démontre que notre société est ouverte», a dit M. Curzi.

Il y a un an, le député Curzi avait été passablement varlopé pour s'être associé à une pétition exigeant que le chanteur britannique Paul McCartney entonne des chansons de Félix Leclerc - en français bien sûr - sur les Plaines d'Abraham. Depuis ce temps, il manoeuvre avec prudence dans le dossier linguistique.

En fin d'après-midi, lundi, l'affaire a continué à prendre de l'ampleur.

Mandatée par l'Association Louis-Hébert pour mettre sur pied «L'Autre St-Jean», la firme C4 Productions a annoncé qu'elle maintenait, pour l'instant, Lake of Stew et Bloodshot Bill à la programmation.

En incluant les prestations des autres artistes à l'affiche, le spectacle de six heures comportera 40 minutes en anglais, souligne un communiqué des producteurs.

De son côté, le Mouvement national des Québécois (MNQ), qui coordonne la Fête nationale du Québec, a qualifié la controverse de «dérive médiatique».

«La Fête nationale du Québec est celle de tous les Québécois, peu importe leur langue ou leur affiliation politique. Aussi, nous avons convoqué les différents intervenants afin de trouver une solution à la présente situation», a indiqué Chantale Trottier, présidente du MNQ.

La rencontre, à laquelle participera C4 Productions, aura lieu mardi.