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L'État vainqueur, la faute et le châtiment ! Punir ou UNIR ? Résister ou collaborer ? par Luc Archambault | 2011 07 19
Texte interdit de publication dans la Tribune dite LIBRE de VIGILE.net
cf. Texte de Claude G. Thompson
Claude G. Thompson 20 juillet 2011
- Ma réplique à l'éditeur de VIGILE.net aussi interdite de publication ici-bas
L'État vainqueur, la faute et le châtiment !
Punir ou UNIR ?
Résister ou collaborer ?
par Luc Archambault | 2011 07 19
Version courte
L’UNION, ce n’est pas l’UNITÉ
L’UNION, est plurielle ; l’UNITÉ est singulière ;
L’UNION, ce n’est pas écarter, disqualifier, excommunier, ceux qui ne sont pas de notre avis ;
L’UNION, c’est identifier et écarter ce qui divise ;
L’UNION, c’est identifier et retenir ce qui peut nous unir ;
La question est : qu’est-ce qui peut nous unir ? Sur quoi fonder ce qui peut nous unir ?
Il faut partir donc de ce qui est fondamental, premier, fondateur.
La démocratie, son principe premier, à savoir, la souveraineté du peuple, est l’assise de ce qui peut nous unir ;
Cette souveraineté primordiale est NIÉE par l’État illégitime du Québec/Canada, puisqu’il s’impose sur NOTRE sol national sans avoir obtenu le OUI de la démocratie québécoise ;
Prétendre au gouvernement du peuple Souverain en tolérant cette négation, sans se réclamer des pleins pouvoirs démocratiques qui sont ceux du peuple souverain sur SON sol national participe à la négation de la souveraineté de ce peuple ;
Il faut en finir avec les gouvernements collabos ;
Quels que soient le nombre, la nature, l’engagement des partis, plus leur nombre sera grand, plus il faudra faire l’UNION de leurs forces démocratiques, par delà la gauche et la droite, par delà leurs affinités électives sur la gouvernance de l’État ;
C’est donc sur cette UNION qu’il faut travailler, puisqu’elle est cruciale, inévitable, essentielle ;
Comment ?
En identifiant ce qui l’empêche pour écarter cet empêchement. En identifiant ce qui la favorise, pour encourager cet encouragement ;
Nous sommes divisés sur la souveraineté de l’État.
Nous pouvons être unis sur la souveraineté du peuple, seule valide fondatrice de la souveraineté de l’État démocratique.
Version longue :
Le Bloc/PQ est coupable de n'avoir pas livré la marchandise, de n'avoir pas vaincu. Le châtiment doit suivre ! Vengeance ! Peine de mort !
Qui pense-t-on punir ? Le Bloc/PQ ? Vraiment !?
Un parti n'est pas un jouet qu'on prend plaisir à développer, avec lequel on s'amuse un temps et qu'on délaisse ou jette après usage. Ni un Kleenex pour jouisseurs solitaires compulsifs.
À voir s'agiter les oisifs voyeurs tout à leur jouissance de pouvoir s'investir dans un nouvel objet de désir, parce que l'ancien ne les fait plus bander, on se trouve en plein consumérisme irresponsable du consommer/jeter. Foin de recyclage, aux poubelles de l'histoire notre ancien jouet. Fabriquons-en un autre ! On n'a que ça à faire d'abord...
Un parti politique c'est autre chose qu'un jouet distrayant qui n'a d'intérêt que sous les projecteurs de la vitrine gagnante. En démocratie, un parti politique incarne une volonté libre et commune. Ici, prônant une gouvernance responsable, là prônant l'évitement et la fuite en avant.
Les partis proposent, le peuple dispose. Cela fonctionne dans un État démocratique. Dans un État qui émane du peuple.
Le système ne fonctionne pas ici, parce que ce peuple ne vit pas dans un État démocratique. L'État du Québec/Canada n'émane pas du peuple.
Les indépendantistes ont dit, mettons de l'avant la souveraineté de l'État, ainsi pourra un jour être effective la souveraineté du peuple. Les souverainistes ont dit, essayons. Happés que nous avons été par ces prémisses, par l'imminence de les voir gagnantes, nous avons toléré que s'impose sans mal un État qui n'avait pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise. Il s'est imposé concrètement donc, sans mal, et s’impose toujours sans OUI, parce que nous n’avons rien produit pour l’INVALIDER, sauf, travailler à ce qui pourrait un jour lointain, l’INVALIDER.
Lui, ainsi autorisé par notre propre incurie, impéritie, s’est bien sûr contenté de fédérer les NON à la l'État souverain abstrait à venir, sans avoir à fédérer pour lui le OUI qui lui manque, menaces concrètes de représailles à la clé contre cette abstraction de l’État souverain à matérialiser. Sans mal puisque rien n'a voulu, n'a donc pu, INVALIDER l'État illégitime unilatéral autocrate qui ne doit sa survie qu'au fait de s'être abstenu de solliciter un OUI. Qu’au fait que nous n’avons rien produit pour l’INVALIDER et renverser le fardeau de la preuve.
Normal, qu’il n’ait pas sollicité de OUI c'eut été NON. Un NON aussi effectif que ne l'ont été les deux NON à l'État souverain du Québec. Et il faudrait encore prétendre au gouvernement du peuple en tolérant que sa souveraineté soit ainsi NIÉE. Vraiment !?
Compter dans ses buts
C'est comme si deux équipes s'affrontant sur la glace jouaient à un même jeu, sans respecter la même règle. Une équipe dispose d'une rondelle et l'autre peut disposer d'une rondelle par joueur. Et l'on ne fait rien, ni sur la glace, ni dans les estrades pour obliger que les deux équipes jouent selon les mêmes règles. Une seule rondelle pour tout le monde. La rondelle, c'est le référendum et elle doit être placée dans le but du OUI. Et l'on s'étonne ensuite que le but du NON soit plein de rondelles !
Il faut cesser de jouer à un jeu qui admet l'asymétrique irrespect des règles devant prévaloir pour toutes les équipes. Tous les États quels qu'ils soient doivent obtenir le OUI du peuple souverain du Québec pour s'appliquer sur SON sol national du Québec.
Il faut cesser d'élire la députation collabo de partis collabos qui président ensuite des gouvernements collabos. Des partis, une députation, un gouvernement collabos qui ne font rien et qui ne prévoient rien faire pour que soit contré un État qui n'a pas le OUI de la démocratie québécoise, un État négationniste qui NIE la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple.
Et qui est coupable de cette collaboration indigne, antidémocratique ? Tous les partis, toutes les organisations indépendantistes et soi-disant souverainistes, toutes les élites indépendantistes et soi-disant souverainistes. Toutes ont endossé, endossent encore, des stratégies collabos, parce qu'aucune de ces forces n'a prévu S'ENGAGER dans la résistance. Elles ont toutes subordonné leurs Actes et projets politiques à l'effectivité de la souveraineté de l'État, en lieu et place de S'ENGAGER à rendre effective la souveraineté du peuple, et en tolérant que cette souveraineté première soit NIÉE, foulée aux pieds, disqualifiée par un État illégitime qui s'impose par défaut, du seul fait de n'avoir pas sollicité le OUI de la démocratie québécoise. Un État illégitime et une mouvance dite souverainiste qui n'ont donc pas permis à ce peuple de dire NON à l’actuel État du Québec/Canada dont les Québécois,es ne veulent pas.
Ce NON de la résistance est inexprimé, il est dans le maquis, stationné et inactif, en marge du champ de bataille qui oppose des élites inconséquentes, par-dessus la tête du peuple. Ce NON du maquis doit sortir du maquis. Il doit s'exprimer dans la lumière démocratique, en plein soleil de la justice et de l'équité démocratique. Un État ne peut indéfiniment s'imposer par défaut que si nous collaborons ! Il faut cesser la collaboration qui NIE le principe premier de la démocratie. Au sommet d'un État démocratique doit trôner sur SON sol national, nul autre que le peuple souverain. Dans l'État illégitime du Québec/Canada, ce n'est pas le peuple du Québec qui trône au sommet de l'État, mais bien une Couronne de pacotille canado-britannique créée de toutes pièces en 1982 par un despote incapable de fonder une République, pourquoi ? Parce qu'une République doit émaner du peuple. Pierre Elliott Trudeau lui-même, était INCAPABLE de l'obtenir ce OUI du peuple, et il ne l'a jamais demandé. Ce n'est que par défaut que s'impose l'État illégitime du Canada.
Ce défaut peut et doit être corrigé. Il ne le sera que par une députation, des partis et un gouvernement majoritaire en siège et en voix qui se seront ENGAGÉS à faire sortir le NON de la résistance québécoise du maquis et de la marge. Ce NON à l'État illégitime actuel doit s'exprimer. Ce NON inexprimé est inaudible, inouï ! Ce cri silencieux fait de la démocratie québécoise, une démocratie exsangue, dénué de sang nourricier, de nutriment, une démocratie tronquée,de la base au sommet. Cf : La triple détresse démocratique de l’État illégitime du Québec/Canada
Depuis le 18 juin 2011, PRISE 18 de l'Opération VIGILE du samedi |CNQ,
jour anniversaire de l'Appel à la résistance du 18 juin 1940 du Général De Gaulle,
le drapeau du Québec flotte tête-bêche à notre mât citoyen,
comme les drapeaux du Canada et de la Couronne canado-britannique.
Le signe de la triple détresse de la démocratie québécoise.
Le signal de ralliement de la résistance québécoise.
L'implacable logique démocratique
L'implacable logique démocratique commande une action radicalement démocratique. TOUS les États, quels qu'ils soient, présents, passés ou à venir, TOUS doivent obtenir le OUI de la démocratie québécoise, @ DÉFAUT, le peuple souverain du Québec les déclarent illégitimes et INVALIDES sur SON sol national. Mais encore faut-il rompre avec les gouvernements collabos. Encore faut-il exiger des soi-disant souverainistes qu’ils s’engagent à cesser de tolérer sans coup férir ce qui NIE la souveraineté démocratique de ce peuple…
Ce qui du coup, d'office, ferait s'effondrer la mainmise de l'État illégitime du Québec/Canada sur le Québec, sur le peuple souverain du Québec et sur SON sol national, ce, à la face du monde libre et démocratique. Ce qui fait place nette et débarrasse la table des corps morts du déni et de la collaboration. Ce qui rétablir la réciprocité dans le respect des mêmes règles en matière de légitimité de la légalité devant s'appliquer ici. TOUS les États qui prétendent à bons droits s'appliquer sur le Québec et le peuple souverain du Québec. Et, c'est le peuple souverain du Québec qui l'affirme, d'abord en élisant les partis de la COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté, ensuite en réunissant sous CONSTITUANTE BICAMÉRALE toute la députation du Québec qui se prononce. Elle INVALIDE tout État qui n'a pas obtenu le clair OUI de la démocratie québécoise, et rédige et adopte la CONSTITUTION PRIMORDIALE de la République démocratique du peuple souverain du Québec. Le OUI à ces deux Actes constitutif fondateur règle la question.
On peut passer à autre chose dans un État légitime et vraiment démocratique. Nous pouvons ensuite appeler ce peuple à rédiger une Constitution de la République dans un large processus de consultation populaire pour qu'il puisse faire de Sa République, un État valide à son image et à se ressemblance.
Punir le PQ ne fait que punir ce peuple. Punir le PQ et sa députation, sa direction, ses états-majors, ses stratèges, ne fera que reporter dans le temps, l'exigence de la résistance ; ne pourra que retarder le moment où ce peuple souverain sortira du maquis pour entrer de plains pieds dans la démocratie qui est la sienne, dans l’UNION de ses forces.
Ce n'est ni de punition, ni de lynchage public, ni de châtiment dont nous avons besoin. Nous avons besoin de mettre fin à la collaboration qui a été le fait de toutes et tous. Nous avons toutes et tous autant que nous sommes, subordonné la souveraineté du peuple à l'avènement de la souveraineté de l'État, c'est une erreur de persister dans la collaboration. Était-ce une erreur de la mettre de l'avant, on ne saura jamais. Mais ce serait une erreur de poursuivre aujourd'hui dans cette voie sans issue.
Les partis ne peuvent agir seuls, le PQ doit cesser d'agir seul. Seule l'UNION de nos forces démocratiques pourra sur la base d'UN Programme COMMUN d'État digne de ce nom, sortir la résistance de ce peuple du maquis de l'impuissance. Le maquis de la résistance n'est victorieux que lorsqu'il se dissout dans la lumière de la liberté démocratique. Ce peuple est prêt. Nous sommes prêts. Prêts à faire l'UNION NATIONALE DÉMOCRATIQUE de ce peuple.
Punir ou unir ?
Punir le PQ, ne servira à rien d'autre que punir le peuple et sa cause.
Ce n'est pas de punition ni de châtiment dont nous avons besoin, mais de changement. Celui qui rompt avec une députation, des partis, des stratégies, des dispositifs politiques, et des gouvernements collabos, qui pensent pouvoir prendre le pouvoir sans se réclamer des pleins pouvoirs démocratiques qui sont les nôtres afin d’INVALIDER tout État qui n’a pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise.
Le cours du fleuve-océan de la vie de ce peuple souverain s’est ouvert en deux le 2 mai dernier pour faire passer à sec, la volonté libre du peuple souverain du Québec. Il a mis élu majoritairement un parti qui se nomme Nouveau parti DÉMOCRATIQUE. Le message est limpide et clair. Il faut en prendre Acte sans délai. Nous ne pouvons en prendre Acte que si nous nous emparons de cette volonté libre, littéralement pour la rendre effective, dans l’État, quel qu’il soit.
Le message est clair comme de l’eau de roche. Ce peuple a pris fait et cause pour le parti-pris de la démocratie, contre l’autocratie tutélaire d’une minorité qui s’impose de force et d’autorité impériale contre la volonté libre de la majorité.
Les Québécoise,es ont voté contre la stratégie du déni, de l’évitement et de la collaboration qui a fait dire à Gilles Duceppe que la démocratie canadian était admirable. Elle ne l’est pas. De la base au sommet cet État NIE, foule aux pieds, ignore, disqualifie, passe sous silence, la volonté libre de ce peuple démocratique, donc Souverain sur SON sol national du Québec. Son Régime favorise l’élection de la minorité. Le peuple désire mettre au pouvoir La Majesté de Sa majorité. Ce peuple n’est plus mineur. Il est majeur. Il a droit à Sa majorité. Il la réclame et désespère de la politique politicienne partisane et bassement électoraliste.
Les Québécois,es ont voté le 2 mai pour le parti qui voulait et pouvait mettre au pouvoir une Coalition de la majorité. Cette volonté doit maintenant s’appliquer au Québec. Pour cela, il nous faut en prendre Acte et rompre avec les stratégies collabos qui assurent la victoire de la minorité activiste partisane d’un État impérial qui NIE la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple souverain du Québec.
Il faut pouvoir faire la différence entre les vrais démocrates et les faussaires. Pour cela il faut mettre sur pieds une COALITION NATIONALE ! Démocratie et Souveraineté du peuple et de l’État du peuple. Les vrais démocrates prendront fait et cause pour la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple, les autres, combattrons, disqualifieront l’implacable logique de la démocratie. Le peuple saura reconnaitre les vrais démocrates des autocrates.
Mais pour qu’il puisse faire la différence, il faut lui offrir un choix entre démocratie et dictature. Ce choix ne peut se faire sous un Régime de collabos.
Notre députation soi-disant souverainiste, doit désormais l’être vraiment ! Nous seuls pouvons faire la différence, nous qui prenons parti pour la démocratie et parti pour l’effectivité de son principe premier, à savoir, la primauté de la souveraineté du peuple, seule valide fondatrice de la souveraineté de l’État démocratique.
Forts de ce qu’engage l’implacable logique démocratique de la souveraineté du peuple, nous pouvons, dans l’UNION citoyenne de nos forces démocratiques, confronter les faussaires et collabos. Ou bien, ils passent à la résistance, et prennent fait et cause pour ce qu’engage la volonté libre de la majorité démocratique qui répudie tout État qui n’a pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise, ou bien, ils persistent dans la collaboration. Le peuple saura choisir la démocratie et la résistance. Mais encore faut-il qu’il ait le choix. À nous de forcer les souverainistes, à l’être vraiment, et à dénoncer les autres qui ne font qu’endosser la dictature qui s’impose sans le OUI du peuple que nous sommes.
Il y a URGENCE !
Il n’a y a pas plus urgent que de faire de toutes nos forces, l’UNION de toutes nos forces. En commençant MAINTENANT, par faire celles de nos forces citoyennes. Nous avons pouvoir sur ces forces, puisque ce sont les nôtres. Cette UNION nous pouvons la faire. Sur l’essentiel, en mettant de côté l’accessoire. Si nous, citoyen,es, ne savons pas la faire, comment blâmer les partis, les politicien,nes de ne savoir pas comment la faire ? Celles et ceux qui seront porté sur le blâme, en refusant de participer à la construction de cette UNION, ne seront que pareils faussaires.
C’est l’exemple de notre UNION citoyenne, l’UNION trans-partisane, trans-idéologique, trans-générationnelle et trans-cutlurelle de TOUTES nos forces qui pourra porter, qui pourra être décisive, par delà nos affinités électives, nos préférences, nos certitudes sur l’accessoire de la gouvernance de l’État.
L’essentiel, c’est ce qui transcende la gouvernance de l’État. Et cet essentiel c’est la démocratie. C’est ce que le respect de son principe premier engage, à savoir, la primauté de l’effectivité de la souveraineté du peuple, seule valide fondatrice de la souveraineté de l’État. L’essentiel c’est la fin des gouvernements collabos. Ces gouvernements sont au pouvoir, mais sans pouvoirs. Ils sont au pouvoir de l’illusion démocratique, sous tutelle d’un État doté d’un pouvoir de désaveux impérial, où tout ce qui se décide de manière décisive se décide par-dessus la tête du peuple Souverain du Québec à Ottawa.
Cet État n’a pas le OUI du Québec, n’a pas le OUI de la députation du Québec, n’a pas le OUI du gouvernement du Québec, n’a pas le OUI du peuple souverain du Québec.
Lettre ouverte aux démocrates québécois,es – La Révolution du lys | Résister ou collaborer ?
État illégitime du Québec/Canada, DÉGAGE !
Constitution sans OUI, DÉGAGE !
Couronne canado-britannique autocrate, DÉGAGE !
Élisabeth II, Reine du Québec/Canada, DÉGAGE !
Charles, prince héritier, DÉGAGE !
Gouvernement collabo, DÉGAGE !
Bloc/PQ/QS/ADQ/Sirois/Legault collabo, DÉGAGEZ !
Le peuple au pouvoir !
Nous sommes le peuple Souverain du Québec !
OUI à la démocratie !
OUI à son principe premier !
OUI à la primauté de la souveraineté du peuple !
OUI à la souveraineté du peuple fondatrice de la souveraineté de l’État du peuple !
VIVE le Québec libre !
Un peuple uni jamais ne sera vaincu !
Luc A.
P.S.
Je persiste et signe, je dénonce la censure de l’éditeur de VIGILE.net. Il a refusé de publier nos textes et publiciser notre contribution citoyenne partie de l’Opération VIGILE du samedi | la PAROLE citoyenne en Acte qui occupe la Place du peuple souverain du Québec à Québec depuis le 19 février 2011. Une contribution citoyenne en Acte maintenant active à Montréal, au Mont St-Hilaire et à Gatineau, tous les samedis à 14h.
Notre commission citoyenne engage la commission de toutes nos forces démocratiques.
Refuser cette commission disqualifie les pourfendeurs de la commission des partis et de notre députation.
Je persiste et signe, l’éditeur doit permettre officiellement le commentaire sur le commentaire. L’interdire limite le débat. Il le permet effectivement, son refus est absurde, infertile et vain.
Nous n’arriverons à rien sans UNIR nos forces, quelles qu’elles soient.
Pour cela il faut le vouloir, ensuite suit le pouvoir. @ défaut, c’est l’impuissance et ce qui s’en suit, la désespérance.
Bonnes vacances d’été à toutes et à tous.
Documentation
Opération VIGILE du samedi | TEXTES | REPÈRES & RÉFÉRENCES
NOTE :
Au bénéfice des personnes qui profiteront de l’emploi du mot « collabo » pour disqualifier, discréditer ou insulter l’ensemble de cette réflexion politique, qu’il soit clair qu’il est utilisé à bon escient, toutes choses égales par ailleurs. Ce qui ici est égal entre l’époque où le monde libre et démocratique s’est mobilisé pour contrer les dictatures impériales autocrates du fascisme national socialiste allemand, italien et nippon occupant des territoires sans le libre et démocratique consentement des peuples ainsi conquis, et notre situation actuelle, c’est le fait de « collaborer » sans résister,
En tolérant ce qui nie la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple, que cette tolérance soit traître, ou par défaut, parce qu’on travaille à la souveraineté de l’État, on se trouve à NIER la primauté effective du principe premier de la démocratie, à savoir, la souveraineté du peuple du Québec sur SON sol national du Québec. Nier la démocratie, c’est ce que faisaient les dictatures fascistes contre lesquels se sont battues les démocraties occupées ou menacées, par delà leur obédience de gauche ou de droite.
Un État illégitime a conquis par les armes notre territoire national et depuis l’occupe militairement, politiquement, économiquement, fiscalement, « légalement » et de toutes autres espèces de manières commanditaires et autres, ce, tout à fait illégitimement, puisque cet État du Québec/Canada, n’a jamais obtenu le clair OUI de la démocratie québécoise.
La collaboration de Pétain/Laval, a été dénoncée par le Général De Gaulle dans son Appel à la résistance du 18 juin 1940, De Gaulle a choisi la résistance et le monde démocratique lui a donné raison. Mais il en a fallu du temps pour que cet appel soit entendu. À telle enseigne que nombre de Français, tel un certain François Mitterrand, ont participé à la collaboration, et dans son cas jusqu’en 1943.
Qu’il soit clair aussi qu’il n’est pas question de blâmer quiconque. Nous avons toutes et tous été des collabos. Moi le premier jusqu’en 1995. J’ai toléré les gouvernements dits souverainistes, qui ont toléré le fait de présider le gouvernement du peuple Souverain du Québec sans se réclamer des pleins pouvoirs démocratiques et souverains qui étaient, qui sont toujours les siens, pour l’appeler à INVALIDER tout État qui n’a pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise, ce qui aurait fait, ferait s’effondrer à la face du monde libre la prétention démocratique de l’État illégitime du Canada, du moins quand il s’applique à notre sol national du Québec. Comme si un peuple pouvait être objet de Cession ? Comme si notre sol par Cession devait irrémédiablement être sans notre libre consentement partie indéfiniment des terres de la Couronne canado-britannique ?
La question est, devons-nous continuer à tolérer le fait tangible et concret, dans l’attente que se matérialise un État valide abstrait, que des partis, que la députation dite démocratique et souverainiste de ce peuple, siégeant toujours séparément à Québec et Ottawa, que des gouvernements collabos, prévoient leur élection et ainsi exercer le pouvoir tronqué de l’État du Québec, en s’abstenant encore et toujours d’appeler cette députation et ce peuple à INVALIDER sur notre sol national tout État qui NIE la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple du Québec, Souverain sur SON sol national du Québec ?
Notre réponse à cette question, nous les souverainistes, nous les partisans de la primauté démocratique de la souveraineté de ce peuple que nous aimons, est NON, et doit être NON.
Il faut rompre avec les partis, la députation, les gouvernements collabos. Ce, MAINTENANT, sans condition ni délai. Ce qui permet de confronter les uns et les autres, ou bien ils et elles choisissent la collaboration à la dictature d’un État illégitime qui n’a pas le OUI de la démocratie québécoise, ou bien ils et elles rompent avec la collaboration et se soumettent à la primauté effective de l’Autorité démocratique suprême du peuple Souverain du Québec sur SON sol national. Rompre, c’est S’ENGAGER à prendre dans l’UNION de nos forces démocratiques le pouvoir au non de la COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté, à bâtir, pour mettre au pouvoir le peuple souverain du Québec pour qu’il puisse INVALIDER l’État dont il ne veut pas, et VALIDER l’État qu’il désire fonder depuis la Conquête. Un État républicain, à son image et à sa ressemblance.
C’est soit l’un, soit l’autre. Ce ne peut être les deux.
Ce peuple, à la différence du peuple de France, est seul au monde et vit au cœur de l’Empire le plus puissant de toute l’Histoire de l’humanité. Ce, contrairement à maints peuples colonisés aujourd’hui affranchis, mais vivant à des milliers de kilomètre de l’Empire qui les contraignait. Personne n’est venu et personne ne viendra au secours de ce peuple. Sauf De Gaulle, et il est mort depuis longtemps.
Chaque peuple crée l’oeuvre de sa libération avec les médiums qu’il peut faire naitre sur le canevas qui est le sien. Il n’y en a pas d’autre, et il s’est tissé dans le cadre d’une contrainte indue dont il doit se défaire. Sans cesse il remet sur le métier son ouvrage. Imagination, introspection, autocritique, doutes, audaces, avancées et reculs, peurs paralysantes et peurs motivantes à la clé, toutes choses qui sont parties de sa création unique, à nulle autre pareille. Il est inachevé ce grand œuvre et le sera toujours. Cet inachèvement crée des tensions et ce peuple sait les absorber, sans s’écraser. On ne sait pas d’avance quel sera le résultat, cela est stressant. Mais ce peuple a toute notre admiration, puisqu’il a su poursuivre sans cesse son irréductible œuvre créateur qu’aucune force n’a pu anéantir.
Suffit maintenant de nous hisser, nous les élites militantes, à la hauteur de sa hauteur. Le mieux est de lui donner enfin la parole. Le mieux est de nous ENGAGER à lui donner la parole, là où ça compte, dans l’État, quel qu’il soit, sans condition ni délai, pour qu’elle s’exprime sans contraintes de corps et d’esprit, dans la clarté démocratique qui est la sienne.
Le temps est compté. Tout report, toute procrastination, compteront en double à l’heure des prochaines échéances électorales cruciales, à venir. Cet État illégitime ne prend pas de vacances, puisqu’il s’impose, sans le OUI du Québec. Les nôtres de vacances sont terminées. La récréation de la diversion, de la querelle sans fin et sur tout est terminée. Si elle ne l’est pas pour d’aucuns, il faut qu’elle le soit pour la majorité, car ce peuple est menacé, il l’a toujours été et il est temps que la menace s’efface pour faire place à la volonté libre et démocratique du peuple, dans l’État du peuple.
Depuis le 18 juin 2011, PRISE 18 de l'Opération VIGILE du samedi |CNQ,
jour anniversaire de l'Appel à la résistance du 18 juin 1940 du Général De Gaulle,
le drapeau du Québec flotte tête-bêche à notre mât citoyen, comme les drapeaux du Canada et de la Couronne.
Le signe de la triple détresse de la démocratie québécoise.
Le signal de ralliement de la résistance québécoise.
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